Quand j'etais petite je n'avais pas de rides et je voulais écrire tout ce que j'oublierai plus grande. je ne l'ai pas fait et maintenant bien sûr jai oublié. je voulais écrire et me rappeler ce que les adultes ne comprennent pas parce qu'ils sont adultes, pensais-je. la maitresse a l'école comprenait les erreurs des enfants, puisqu' elle les marquait en rouge. mais elle ne comprenait pas pourquoi ces enfants faisaient ces erreurs. et moi je pensais que je les comprenais, les pourquois. et je pensais RAAAA mais non. la compréhension de la maitresse était limitée à ce qu'elle était puisque elle n'arrivait pas à expliquer avec des mots. la couleur rouge n'expliquait rien, elle corrigeait. la maitresse était une maitresse, la maitresse était une adulte.
quand j'étais petite, j'avais déjà des fissures, à 5 ans ma fissure était ma mère, à 12 ans ma fissure était mon chat. ..........................
1 commentaire:
c'est pas un commentaire c'est deux strophes de Xavier Villaurrutia. Ca manque de Spaniol, non, ce site multilingue?
[...] Entonces solo yo se que la muerte
es el hueco que dejas en el lecho
cuando de pronto y sin razon alguna
te incorporas o te pones de pie.
Y es el ruido de hojas calcinadas
que hacen tus pies desnudos al hundirse en la
alfombra [...]
(Nocturno de la Alcoba)
Pour toutes les maitresses et les maitres du monde, et les autres aussi, machez des cendres avant de parler.
Enregistrer un commentaire